Bon résumé du livre. J’y reviens après avoir lu la totalité du volume.
Il me semble qu’il manque quelque part dans le dispositif un lieu de commentaire où un lecteur pourrait donner un point de vue d’ensemble et échapper au morcellement impliqué par le découpage en paragraphes.
Citation apparemment fondamentale, mais, isolée, elle force à s’interroger: “le monde supra-sensible” qu’est-ce que c’est, pour cet auteur? “Supra-sensible” fait un peu X-men…
Ai Weiwei passionnant et commentaire éclairant.
“La question de l’éternité”? “Diachronie” = histoire, mais l’éternité, c’est vraiment autre chose! L’emploi du mot fait difficulté pour moi.
Ne connaissant pas les travaux de J.-G. Ganascia,j’ai peine à comprendre très facilement la phrase: “le principe de l’absolue transparence aujourd’hui vantée par la publicité, insérée au coeur de la politique, du secret médical ou de l’instruction judiciaire”. “Transparence” associée au 4 domaines: publicité, politique, secret médical (?) et instruction judiciaire, ne va pas de soi pour un lecteur non prévenu. Formulation un peu trop dense, là encore.
“la fenêtre hollandaise s’ouvre en effet culturellement au regard de l’autre…”: Je trouve la formulation de ce développement un peu trop dense et pas totalement claire pour moi, mais c’est sans doute ma faute.
Développements très intéressants. Il faudra l’image…
Source: https://mcpress.media-commons.org/regardnumerique/comments-by-commenter/
Geneviève Clerico
Le mot “biopouvoir” soulève la question de la technicité des termes employés par S.L.: même si tout le contexte est assez clair, il fait partie de ces termes qui vont sans doute de soi entre chercheurs travaillant dans le domaine. Pour moi qui suis une lectrice lambda, intéressée et curieuse, mais pas spécialiste et vite désarçonnée devant toute terminologie qui fait obstacle à une lecture fluide, je souhaiterais une sorte de brève définition du mot. Je comprends bien “pouvoir” mais pas vraiment le “bio” qui le précède. Pb qui touche à l’équilibre entre les descriptions menées par l’auteur, et la nécessaire abstraction des analyses.
Bon résumé du livre. J’y reviens après avoir lu la totalité du volume.
Il me semble qu’il manque quelque part dans le dispositif un lieu de commentaire où un lecteur pourrait donner un point de vue d’ensemble et échapper au morcellement impliqué par le découpage en paragraphes.
Question de pure typographie: les phrases citées et mises en exergue avant tout développement tout au long du livre sont en général excellemment choisies et pertinentes. Le jour de l’impression, veiller à ce que la citation soit en italiques, mais la référence au nom de l’auteur et à l’oeuvre citée soit en caractères normaux (romains).
Je ne suis pas sûre d’avoir “submit comment” précédemment. Pardonnez si ce commentaire fait double emploi: j’espère qu’il y aura, pour toutes les images et situations commentées par S.L., une iconographie apporpriée. les images sont indispensables…
Il me semble bien que la formule “le XX° siècle qui n’a rien vu” est excessivement réductrice, et son caractère abrupt et certainement discutable a pour but de considérer avec faveur l’idée qu’il y a “un progrès” et que le XXI° est par définition plus autorisé et plus lucide que le précédent. Question qui me semble devoir être abordée avec un peu plus de précaution peut-être.
C’est bien, tout ça!
Voir si le a de Mabuse, tantôt italique, tantôt non, est volontairement différencié.
spec-acteur à changer en spect-ateur
Développements très intéressants. Il faudra l’image…
“la fenêtre hollandaise s’ouvre en effet culturellement au regard de l’autre…”: Je trouve la formulation de ce développement un peu trop dense et pas totalement claire pour moi, mais c’est sans doute ma faute.
Ne connaissant pas les travaux de J.-G. Ganascia,j’ai peine à comprendre très facilement la phrase: “le principe de l’absolue transparence aujourd’hui vantée par la publicité, insérée au coeur de la politique, du secret médical ou de l’instruction judiciaire”. “Transparence” associée au 4 domaines: publicité, politique, secret médical (?) et instruction judiciaire, ne va pas de soi pour un lecteur non prévenu. Formulation un peu trop dense, là encore.
“La question de l’éternité”? “Diachronie” = histoire, mais l’éternité, c’est vraiment autre chose! L’emploi du mot fait difficulté pour moi.
Paragraphe très intéressant.
Ai Weiwei passionnant et commentaire éclairant.
Citation apparemment fondamentale, mais, isolée, elle force à s’interroger: “le monde supra-sensible” qu’est-ce que c’est, pour cet auteur? “Supra-sensible” fait un peu X-men…
Hélène Bouty
ligne 5 : “parcourt” ?
marcello
ceci est un commentaire
Michel Rérat
Sophie,
peux-tu donner des exemples (et/ou citer des références) sur lesquels tu t’appuies pour chacune de ces trois différentes modalités d’interventions artistiques? Sont-elles d’ailleurs si distinctes sur le fond: une ”contestation activiste” sous différentes formes?
Peux-tu aussi expliciter ”(dis)continuité du regard numérique” et ”rapport au temps”?
A bientôt.
Michel
Sophie,
sur quels exemples (ou références à citer) tu t’appuies pour ces 3 différentes modalités d’interventions artistiques (qui me semblent en fait n’être qu’une sur le fond, une ”contestation activiste”, non?).
J’aurais aimé aussi que tu explicites plus ”(dis)continuité du regard numérique” et ”rapport au temps”.
A bientôt.
Michel
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